INTERVIEW: 3 questions to Ilya Ram - Hamburg Ballet (in German)
Link - https://blog.hamburgballett.de/3-fragen-an-ilya-ram/
"marriage at first sight"
"I would sum up the [Szczecin Filhamonia's] collaboration with Ilya Ram with a well-known pop culture title: marriage at first sight. I don't know what powers the young Israeli Kapellmeister showed, but the ensemble felt like a fish in water in the new repertoire."
09 Nov. 2023, Ruch Muzyczny, Michal Bajer, 'Artists, not Photographs'
"Conductor Ilya Ram: Clear, Precise, and Attentive"
"Although Ram [...] presents himself as deliberately casual in his shiny silver sneakers, his conducting is the opposite: energetic, spontaneous, yet clear, precise, and attentive to detail. It makes the students listen to each other even in places where their own playing limits have almost been reached. As they are guided by a collaboratively developed vision."
03 Jul. 2023, LVZ, Werner Kopfmüller, 'Krawall und Naturmystik – Leipziger
Universitätsorchester im Gewandhaus'
"[Dark Matters] was so intense that you keep what you experienced in your heart for a long time. Rarely has an evening at this festival for new music been as dense and seamless as this one. For minutes the audience applauded the artists: Something really extraordinary had happened here... Furiously accompanied by the Leipzig ensemble Tempus Konnex, singing and speaking were Johanna Vargas and Salome Kammer... They dared something and won everything. A real triumph."
21 Oct. 2022, MITTELDEUTSCHE ZEITUNG, Andreas Montag, 'NEUE MUSIK Wie das „Impuls“-Festival im halleschen Steintor-Varieté mit dem eindrucksvollen Konzertabend „Dunkle Materie“ eine Zukunft entworfen hat.'
"The very gradual progression [in Parsifal] that Ram chooses helps in gaining this assurance, and the colorful radiance and shine is convincing already in the first minutes [...] and in the finale Ram succeeds in a fanning out of sound worlds that even the great Wagner fan Anton Bruckner would surely have appreciated....
[With "Death and Transfiguration"]All is forgiven when gradually all find each other for the great chorale, Ram leads the volumes of sonority sovereignly to the finale, and there the two great tutti spots succeed exactly as they should.
The Symphony in E minor "The Gaelic", which is heard after the intermission, must have represented completely new territory not only for the reviewer, but also for almost all other concertgoers... The interesting work earns a lot of applause, and one would not be surprised if one would encounter it a bit more often here in the near future.... [T]he impression that it becomes more and more assured and confident as the playing goes on may be taken as a good sign."
09 Jul. 2022, musikansich.de, Roland Ludwig, 'Verklärung im Gerstenfeld: Das Leipziger Universitätsorchester spielt Wagner, Strauss und Beach'
REVIEWS FROM THE 5th EVGENY SVETLANOV COMPETITION (in original French)
"Schelomo sous la baguette du chef l'Israëlo-Américain Ilya Ram, émeut aux larmes. Une fusion totale entre Thierry Amadi et l'orchestre. Ce n'est plus un concours, on assiste à un merveilleux moment musical. Le public est conquis. Son interprétation de la Symphonie n°4 de Beethoven est respectueuse du style... Ilya Ram, consacre peu de temps à l'œuvre de Svetlanov mais il fait un travail de recherche très intéressant sur les timbres dans Initiales E.S. de René Koering. Enfin, il galvanise l’orchestre avec une lecture charismatique et humaniste de Tod und Verklärung de Richard Strauss...
Malgré tout, on est heureux de découvrir les personnalités de ces chefs en devenir professionnel et on espère revoir bientôt le charismatique Ilya Ram."
15 Jun. 2022, Crescendo-Magazine, Carlo Schreiber, 'Le concours Svetlanov à Monte-Carlo'
"Le chef israélien de 31 ans Ilya Ram est ici pour le challenge... D'une allure bohème avenante, il inspire le respect et le calme. Sa Grotte de Fingal résonne d'échos fluctuants. Elle est perçue comme un kaléidoscope polychrome dont il contient le flux vibratoire haletant. - « C'est assez Romantique, mais j'aimerais que l'on joue cela plus Baroque ». Avec Bloch, dans un registre plus sensitif, il offre la pièce à l'inspiration précieuse du soliste et aux qualités des musiciens afin qu'ils s'épanouissent sans interruption. C'est un peu comme s'ils ne le suivaient pas, mais que leur musique le suivait. - « Tout était parfait. Reprenons depuis le début ! » Très fluide dans la Symphonie n°4, d'une belle vivacité, il puise de la force dans les silences en maniant l'ensemble un peu comme s'il était sourd. C'est dans une énergie bourrue, qu'il procure aux accents forte de la surprise et du volume. Sa version concert de la Rhapsodie espagnole est ardente. L'esprit de l'œuvre est là, elle révèle tout son potentiel allégorique d'apparitions hispaniques..."
praskova.skyrock.com, Praskova Praskovaa, 'Valse de baguettes à Monte-Carlo'
"Voilà qui pourrait résumer la prestation du chef trentenaire israélo-américain, agréable à suivre dans le travail comme dans le geste, quel que soit le répertoire : dans Images d’Espagne, brève rhapsodie pour orchestre de Svetlanov qui était imposée à l'ensemble des finalistes, il encourage les solistes, assume la théâtralité de la partition et lui donne une sensualité absente jusqu’à présent ; dans le très difficile Tod und Verklärung de Strauss, que l’OPMC n’avait pas joué depuis une douzaine d’années, il parvient à transmettre une réelle émotion lors de la conclusion de l’ouvrage."
07 Jun. 2022, Bachtrack, Tristan Labouret, 'Jesko Sirvend et Henri Christofer Aavik : top chefs au Concours Svetlanov'
"L’Israélo-américain Ilya Ram clôture la cession du matin avec un côté showman qui ne plaira pas à tous, mais avec une bonne maîtrise de l’Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo... Ilya Ram séduit ensuite plus que la veille, mais fait encore des blagues auprès de l’orchestre avec lesquelles il se met à dos une partie du jury, tandis que son physique agréable et son côté showman fonctionne à plein auprès du public, qui lui desservira son prix en fin de soirée, malgré sa répétition complexe de Mort et Transfiguration."
09 Jun. 2022, ResMusica, Vincent Guillemin, '5e Concours International de Chefs d’Orchestre Evgeny Svetlanov : demi-finale et finale'
"La palme [...] celle de la spontanéité expressive [revenue] à Ram et Shields... Ram a révélé une sensibilité musicienne porteuse d’autant de qualités que de questions (il était le plus communicatif et émouvant, aussi le plus discutable, au sens strict ; lui peut encore se concentrer, se discipliner)... Ram a pris une décision surprenante dans le contexte : il n’a pas lu entièrement l’œuvre de Svetlanov ! On a senti qu’il donnait la priorité à Mort et transfiguration, affrontant une rude mais exaltante bataille. Mais il est aussi celui qui a pris pleinement à cœur l’œuvre de Koering, toujours juste musicalement dans ses observations – l’auteur l’a admis plus tard... Ram celui du public – ce qui nous a réjoui –"
09 Jun. 2022, Diaposon, Remy Louis, 'A Monaco, aucun vainqueur au Concours de chefs d’orchestre Evgeny Svetlanov'
REVIEWS OF "DREI MIESE, FIESE KERLE" (in original German):
"Das kritische Verdikt: Macht Spaß, ist lustig und wunderschön und richtig gut. So sieht ein unverstellter Zugang zu Musik, dem Theater und oben drein auch noch der Oper gegenüber aus."
18 Oct. 2021, DNN, Rico Stehfest, 'Der Plan ist mega!'
"Ein wirklich mieser, fieser Spaß ist dieses Stück."
22 Oct. 2021, Dresdner Kultumagazin, Kaddi Cutz, 'Ein mieser, fieser Spaß'
"Mit fünf Bläsern und allerhand Schlagzeug lassen sich nicht nur Geräusche fabrizieren, die Musik trägt, begleitet und wird illustrativ. Gesungen wird auf deutsch und gut verständlich. Dass Sanitäter, Nachtmahr und Vater dieselbe Person mimt, fällt nicht auf."
17 Oct. 2021, Freie Presse, Wolfram Quellmalz, 'Mut und Moral: Paul Maars "Miese Fiese Kerle" als düstere Comic-Kinderoper'
"George Gershwin Kubanische Overtüre bringt Sonne und Farbe in den grauen Januar. [...] Ilya Ram, neuer Mann am Pult des LUO, hält Rhythmus und Melodie zusammen und steuert die jungen Musiker sicher durch die Partitur.
Eine Rarität ist das Violinkonzert von [...] Korngold. [...] Das Orchester gibt sich bis zum dritten Satz eher zurückhaltend, zündet dann aber ein krachendes Finale.
Sergei Prokofjews Siebte steigert sich nach garger Einleitung über vier Sätze zu tanzendem Tumult und lyrischen Meoldien. Hier nutzt jeder im Orchester die Chance, sich zu beweisen. Ilya Ram muss aufpassen, dass ihm die Fäden im turbulenten Finalsatz nicht entgleiten, doch die Musiker bleiben bei ihm. Lange lässt er das letzte Pizzicato ausklingen. Das Publikum tobt..."
21 Jan. 2020, Leipziger Volkszeitung, André Sperber, 'Das coolste kommt zum Schluss - Sinfoniekonzert des Leipziger Universitätsorchesters'
"Krankheitsbedingt wurde [Ekkehard Klemm] ganz kurzfristig von einem seiner Meisterschüler, dem jungen Ilya Ram, vertreten, der seine Sache sehr gut und zuverlässig machte. Er dirigierte umsichtig, legte Wert auf kontrastreiches, gut differenziertes Musizieren und Genauigkeit. Die Elbland Philharmonie folgte ihm auf diesem Wege ohne Wenn und Aber. Da hörte man gern zu."
20 Dez. 2019, Kultur DNN, Mareile Hanns, 'Hoch im Norden, Die Elbland Philharmonie Sachsen beglückte mit einem Weihnachtskonzert'
"Den größten Effekt erzielte zweifelsohne Ilya Ram mit einer schmissig dargebotenen 8. Beethoven-Sinfonie. Der 1991 in New York Geborene leitete auswendig. Er fühlte und durchlebte diese Musik spürbar und machte neugierig, zumal als einer der Ersten, die zum Meisterkurs Dirigieren der Bayreuther Festspiele eingeladen wurden."
16 Mär. 2018, Sächsisches Zeitung, Karsten Blüthgen, 'Bewegung mit Beethoven'
"... Ganz in seinem Element war das Orchester dann unter der Leitung des jungen [...] Ilya Ram, der das Orchester mit wenigen Gesten sicher leitete und den [Novak stück] zu einem besonderen Erlebnis werden ließ…"
23 Nov. 2017, Online Merker, Ingrid Gerk, 'Die Nächste Generation im Stipendiatenkonzert der Brücke/Most-Stiftung'
"Der Applaus für die vorangegangene Egmont-Ouvertüre von Ludwig van Beethoven war deutlich impulsiver und ebenso anhaltend ausgefallen. Ilya Ram Schreiber hatte am Pult die Südwestdeutsche Philharmonie Konstanz durch das Werk geleitet […]. Es ging also gleich richtig zur Sache. Kein vermeintlich leichter Haydn oder Ähnliches zum Warmspielen. Noch am Freitagmorgen konnten die Besucher der öffentlichen Generalprobe darüber nachdenken, ob das anspruchsvolle Programm den auch zu bewältigen ist. Am Samstagabend wussten sie nach etwa zwei Stunden: Alle Erwartungen wurden übertroffen. Und das von den ersten Takten an."
18 Sep. 2017, Südkurier, Michael Buchholz, 'Bravouröses Abschlusskonzert des Meisterkurses Dirigieren'